In this article we propose a novel vision to quality control in biomedical materials. it's based on introducing the results of testers quality equipments and compare results to data-sheet tolerance for each parameters. this representation enable us to minimize the curative intervention and ensure the devices performance. We join comparative chart of MRI's in order to prepare the call of tenders for the IBN SINA hospital. To work on the technical side, we solved the malfunctioning Non-invasive Blood Pressure pump.
Remerciements
Au terme de ce travail, nous tenons à exprimer nos profondes gratitudes et nos sincères remerciements à notre respectueux professeur, ingénieur et chef du service biomédical M. Omar Ammar d’avoir accepté d'être notre encadrant de stage, ainsi que pour ses directives précieuses, sa gentillesse et son soutien.
Nous adressons nos remerciements également au service biomédical composé de M.Taoufik Afilal, Abdelwahed Fadli, M.Mohamed Benyahya, M.Khalid Lyousfi, M.Sabir Bouardi, M.Nourdinne Fahmi, Mme.Bouchra Elmarjani, M.Hamid Zaouad, M.Abasse Kadioui aisni que Mlle Yousra pour leurs serviabilités et leurs efforts, pour nous fournir toutes les données utiles concernant notre domaine.
Un grand merci à l’ingénieur Achaf Nmire d'avoir accepté de nous orienter durant notre stage.
Enfin, nous remercions aussi, Notre cher professeur permanent de l'ESGB Mr. Elmansouri Khalifa, sans oublier tous nos professeurs et toute personne qui a contribué de prés ou de loin à l’élaboration de ce travail.
Sommaire
Liste Abréviation
Introduction générale
Partie 1 : Présentation générale
I) Présentation de l’établissement hospitalier IBN SINA
I-1) Milieu de l’étude
I-2) Composition de l’hôpital
I-3) Organigramme de l’hôpital
II) Présentation du service biomédical (S.M.B)
II-1) Structure du S.M.B
II-2) Relations du S.M.B .
II-3) Principales taches du personnel du S.M.B
II-4) Organisation de la maintenance biomédical
Partie 2 : Inventaire des DM
Introduction
Tâche effectuée
Vision
Partie 3: Contrôle qualité des DM
Définition control qualité
Control qualité pour les DM
Respirateur d’anesthésie
Pousse seringue
Partie 4: Renouvellement des équipements
I) Renouvellement des équipements du service d’exploration fonctionnelle digestive
I-1) Introduction
I-2) Travail effectué
II) Installation d’une nouvelle IRM
II-1) Introduction
II-2) Travail effectué
Partie 5: Solution Technique pour moniteur multiparametrique
1) Introduction
2) Solution Proposée
Conclusion générale
Bibliographie
Annexes
Liste Abréviation :
S.M.B - Service Maintenance Biomédical.
DM - Dispositif Médical.
GMAO - Gestion de Maintenance Assisté par Ordinateur.
FCQ – Fiche du Contrôle Qualité
VD – Valeur mésurée
VA – Valeur affichée
dE – Taux d'Erreur
TDS – Tolérance Data-Sheet
VM - Valeurs mesurées
VN - Valeur nominales
Vm- Valeurs moyenne
UMH -Services d'urgences
DE - Débit Entrée
DS - Débit Sortie
EFD – Exploration Fonctionnelle Digestive
NM - Non Mentionnées
Introduction générale
Durant ce stage technique, nous avons profité de la possibilité qui nous est offerte par le service biomédical de l'hôpital IBN SINA pour découvrir de nouveaux appareils médicaux, comprendre leur principe de fonctionnement et se familiariser avec les différentes techniques de maintenances plus au moins sophistiquées.
L’objectif principal de ce stage, consiste à sortir du cadre académique des cours dispensés à l’école et de se rapprocher du marché du travail en appliquant ce que nous avons appris théoriquement en élaborant un projet qui consiste à effectuer un contrôle qualité des dispositifs médicaux en vue d’avoir une idée sur les performances de ces équipements ainsi que leurs impacts sur le patient.
Ce rapport est subdivisé en cinq parties :
· Dans une première partie, nous fournissons une présentation générale de l’établissement hospitalier IBN SINA de Rabat, en particulier de son service biomédical au sein duquel nous avons effectué notre stage.
· La deuxième partie concerne l’inventaire de tous les équipements qui appartiennent au patrimoine de l’hôpital dans l’objectif de démarrer le GMAO au début du mois de Septembre 2017.
· La troisième partie est dédiée aux tâches effectuées pour réaliser le contrôle qualité des DM essentiellement les respirateurs d’anesthésie ainsi que les pousses seringues pendant la durée du stage.
· La quatrième partie, qui englobe les procédures réalisées pour le renouvellement des équipements de gastrologie et l’installation d’une deuxième IRM à l’hôpital en nous intéressant aux fiches comparatives entre plusieurs marques afin de choisir le bon équipement qui satisfait le besoin exposé dans le cahier des charges.
· La dernière partie , c'est une solution technique pour résoudre une problématique de manipulation en ce qui concerne Pression Non Invasive (PNI), des moniteurs multiparamétriques.
Partie 1 : Présentation générale
I) Présentation de l’établissement hospitalier IBN SINA :
I-1) Milieu de l’étude :
L'Hôpital IBN SINA a su accompagner le développement technologique de la médecine moderne. Ses missions étaient multiples tout au long de son histoire. D'un hôpital régional, il évoluera rapidement vers un Hôpital national, puis hospitalo-universitaire constituant jusqu'en 1983 l'hôpital de référence et le Centre hospitalo-universitaire de Rabat et Salé.
Aujourd'hui, l'Hôpital Ibn Sina s'intègre dans le Centre Hospitalier Ibn Sina qui réunit dix formations hospitalières. Il représente à lui seul plus de 45% des potentialités du Centre.
L’Hôpital Ibn Sina a pour mission de :
*Dispenser des soins médicaux, notamment de type tertiaire
*Effectuer des travaux de recherche médicale dans le strict respect de l’intégrité physique et morale et la dignité des malades ;
*Participer à l’enseignement clinique universitaire et postuniversitaire médical, pharmaceutique et à la formation du personnel paramédical
*Concourir à la réalisation des objectifs fixés en matière de Santé Publique par l’Etat.
I-2) Composition de l’hôpital :
L’hôpital IBN SINA est basé sur une infrastructure qui comporte :
▪ 24 services d'hospitalisation.
▪ 05 laboratoires de biologie.
▪ 02 services d'imagerie médicale.
▪ 01 service d'urgence.
▪ 01 service de médecine nucléaire (référence nationale).
▪ 01 service d'explorations fonctionnelles digestives (référence nationale).
▪ 01 centre de lithotripsie.
▪ 01 centre d'hémodialyse.
▪ 01 service de transfusion sanguine et d'hémovigilance.
▪ 01 service de pharmacie.
▪ 01 centre de consultations.
▪ 13 services administratifs.
I-3) Organigramme de l’hôpital :
Figure 1 : Organigramme général de l’Hôpital.
II) Présentation de service biomédical (S.M.B) :
II-1) Structure du S.M.B :
Un service de maintenance biomédical, avec ses missions multiples, ne peut fonctionner correctement sans une volonté collective émanant de l’ensemble des services administratifs et médico-techniques de l’établissement hospitalier animés par le directeur.
II-2) Relations du S.M.B :
Le S.M.B a des relations fonctionnelles avec tous les services de l’établissement hospitalier et avec des interlocuteurs extérieurs, principalement avec des sociétés privées spécialisées dans la maintenance biomédicale. Ces relations peuvent être schématisées comme suit :
Figure 2 : schéma représentant les relations de S.M.B
II- 3) Principales tâches du personnel du S.M.B :
Les tâches de l’ingénieur biomédical consiste à :
• Participer aux décisions d’achat, de renouvellement et de reforme.
• Elaborer les prescriptions techniques des contrats de maintenance.
• Participer à la réception des équipements.
• Etablir les relations avec l’administration et les fournisseurs.
• Participer à la supervision des installations techniques.
• Assurer la gestion de la maintenance biomédicale de l’établissement hospitalier (organisation, inventaire…).
Par contre, les tâches du technicien consiste à :
• Participer à la réception des équipements.
• Assurer la réparation des équipements et la maintenance interne.
• Participer à la formation des utilisateurs.
• Contrôler les performances des équipements.
• Participer à la gestion du S.M.B.
• Aider à la réalisation des inventaires.
II-4) Organisation de la maintenance biomédicale :
Il est souhaitable d’affecter à chaque service cliniques et/ou médico-technique, un technicien responsable de la maintenance du matériel spécifique à ce service. Celui-ci ne doit en aucune manière avoir recours directement aux fournisseurs sans passer par le S.M.B. concernant la maintenance préventive, l’organisation des interventions et des visites systématiques qui doivent obéir à un planning établi par les utilisateurs et en coordination avec le S.M.B.
Le schéma ci-dessous résume les différents circuits de l’organisation de la maintenance :
Figure 3: schéma représentant les différents circuits de l’organisation de la maintenance.
Partie 2 : Inventaire des DM
I-Introduction :
L’inventaire des dispositifs biomédicaux est un outil de surveillance performant qui a pour objectifs de :
▪ Répondre à une obligation légale de traçabilité.
▪ Sortir de votre inventaire comptable ou de vos contrats de maintenance les appareils qui ne sont plus utilisés.
▪ Renégocier vos contrats de maintenance ou d'assurance.
▪ Avoir votre parc de matériel par service.
▪ Intégrer cet inventaire dans une GMAO.
En outre, l'inventaire physique c'est :
▪ Répertorier l'ensemble de vos appareils médicaux de façon exhaustive.
▪ Apposer une étiquette numérotée au nom de votre établissement.
▪ Lister dans un tableau la marque, le modèle, le numéro de série, l'année d'acquisition, le lieu, etc... (les données nécessaires).
II-Tâche effectuée :
Pour une meilleure traçabilité et pour optimiser les contrôles qualités employés au sein de l’établissement, nous avons travaillé en groupes pour qu’on puisse inventorier tous les équipements. Chaque groupe a passé dans un tel service pour mettre à jour l’inventaire effectué auparavant. En effet, il y avait des équipements qui ne sont plus présents ou qui sont transformés en reforme. C’est pour cela, nous avons vérifié les listes qui contiennent les DM en supprimant ceux qui sont réformés et en ajoutant ceux qui sont achetés récemment.
Pour notre binôme, nous avons consulté la médecine B, la médecine C et l’hémodialyse. Dans chaque liste contient :
▪ Une désignation.
▪ Une marque.
▪ Un type.
▪ Un N° de série.
▪ Un code à barre (c’est un code qui a été introduit par une société qui a inventorié les DM de l’hôpital).
▪ Un N° d’inventaire (c’est un numéro introduit par l’équipe du service biomédical qui a réalisé un deuxième inventaire à sa manière).
▪ Un état (soit fonctionnel ou non fonctionnel).
▪ Un fournisseur.
▪ Un locale (ou service).
▪ C/G/R (sous contrat / sous garantie / sous rien).
▪ Une observation.
Les listes qui résument le travail effectué est sous forme de tableau en Excel. Voir Annexe 1.
III-Vision :
Notre objectif est de mettre à jour l’inventaire des équipements de l’hôpital pour l’employer dans la GMAO en vue d’avoir une traçabilité et un historique de chaque dispositif qui est soit sous garantie soit sous contrat ou sous « rien ». Tout ces informations seront disponibles une fois la GMAO sera démarrée via l’inventaire. Ainsi, l’équipe du service biomédical sera plus performante et connaîtra facilement tout les données d’un tel équipement afin d’agir correctement ce qui donnera naissance à une optimisation du temps ainsi qu’une création pertinente d’un échantillonnage pour le contrôle qualité des différents DM qu’on veut effectuer puisqu’elle a devant elle tout le patrimoine de l’hôpital, ses caractéristiques et son historique aussi.
Partie 3 : Contrôle qualité des DM
Dans le cas d’un achat d’un nouveau matériel, il est préférable de réaliser un premier contrôle qualité avant la mise en service.
I-Définition d’un contrôle qualité :
Un contrôle qualité est une opération destinée à déterminer, avec des moyens appropriés, si le service ou le matériel contrôlé est conforme ou non à ses spécifications ou exigences préétablies par le référentiel en incluant une décision d'acceptation, de rejet ou de retouche.
Selon la norme ISO 8402, qui est actuellement annulée, définit le contrôle étant des activités telles que mesurer, examiner, essayer ou passer au calibre une ou plusieurs caractéristiques d'une entité et comparer les résultats aux exigences spécifiées en vue de déterminer si la conformité est obtenue pour chacune des caractéristiques. »
II-Contrôle qualité pour DM :
Avant de mentionner l’utilité d’un programme de contrôle qualité des DM, tout d’abord nous posons la question suivante : Que représente le matériel médical pour un établissement de santé ?
Pour répondre à cette question, nous citons littéralement la définition de matériel médical selon l’OMS dans la publication « Medical equipement maintenance programme overview, WHO Medical device technical series » [1]. Les dispositifs médicaux sont des actifs qui affectent directement la vie humaine. Ce sont des investissements considérables et, dans de nombreux cas, ont des coûts de maintenance élevés.
Il est donc important de disposer d'un programme de contrôle qualité bien planifié et géré capable de contrôler d’une manière périodique le matériel médical dans un établissement de soins de santé fiable, sécurisé et disponible pour l'utilisation lorsqu'il est nécessaire pour les procédures de diagnostic, la thérapie, les traitements et la surveillance des patients.
Dans ce sens là, nous avons commencé de faire une étude concernant le contrôle qualité des DM à savoir le respirateur d’anesthésie et la pousse seringue.
III-Respirateur d’anesthésie :
Les objectifs les plus évidents de l'anesthésie générale sont de rendre un patient inconscient et insensible à la douleur afin que la chirurgie ou d'autres procédures médicalement nécessaires puissent être effectuées. Dans le processus d'atteindre ces objectifs, des médicaments efficaces sont administrés qui interfèrent avec les fonctions normales du corps, notamment la circulation du sang et la capacité de respirer. Le but le plus important des soins anesthésiques est donc de garder le patient en sécurité et sans blessure.
a- Protocol du système d’anesthésie :
Le système de distribution d'anesthésie se compose de quatre composants : un circuit respiratoire, une machine d'anesthésie, un système de dépollution des gaz d'échappement et un ventilateur d'anesthésie.
Le circuit de respiration est le centre fonctionnel du système, puisqu'il est physiquement et fonctionnellement connecté à chacun des autres composants et à l'air du patient (fig.1). Il y a un flux de gaz à sens unique de la machine d'anesthésie dans le circuit de respiration et du circuit de respiration dans le système de piégeage. Il existe un flux bidirectionnel de gaz entre le circuit respiratoire et les poumons du patient, et entre le circuit respiratoire et le ventilateur d'anesthésie ou le sac réservoir.
Le ventilateur et le réservoir sont des unités fonctionnellement interchangeables, qui sont utilisées lors de différents modes de ventilation. Pendant les modes de ventilation spontanés et assistés manuellement, le sac de réservoir élastique est utilisé comme source de gaz inspiré et d'un réservoir à faible impédance pour les gaz exhalés.
Le ventilateur d'anesthésie est utilisé pendant la ventilation mécaniquement contrôlée pour gonfler automatiquement les poumons en utilisant les paramètres prescrits.
Fig.1 : Diagramme de blocs des composants du système de distribution d'anesthésie. Les flèches montrent la direction du flux de gaz entre les composants [1].
Pendant la respiration, le gaz s'écoule du ventilateur d'anesthésie ou du sac de réservoir à travers le circuit de respiration vers les poumons du patient. Le flux sanguin du patient absorbe une petite partie des gaz (par exemple, l'oxygène et l'agent anesthésique) des poumons et libère du dioxyde de carbone (CO2) dans ces poumons.
Au cours de l'expiration, le gaz s'écoule des poumons du patient à travers le circuit respiratoire vers le réservoir d'anesthésie.
Ce flux de gaz en vrac, entre le patient et le ventilateur ou réservoir, constitue la ventilation pulmonaire du patient ; Le volume de chaque respiration est appelé volume courant, et le volume total échangé pendant une minute est appelé volume minute.
Au fil du temps, le patient absorbe de l'oxygène et des agents anesthésiques et libère du CO2 dans le circuit de respiration.
Pour conserver l'utilisation de gaz anesthésiques (fig.2), l’anesthésiste utilisera un débit de gaz frais significativement inférieur au volume minute du patient. Dans cette situation, le patient réintègre le gaz qu'il avait précédemment exhalé dans le circuit de respiration (c'est ce qu'on appelle la ré-inspiration). L'absorbeur de dioxyde de carbone ou la chaux sodée, contenue dans le circuit de respiration, empêche le patient de ré-respirer le CO2, ce qui serait délétère. Tous les autres gaz (oxygène, oxyde nitreux, azote et vapeurs anesthésiques) peuvent être réutilisés en toute sécurité
Fig.2 : Schéma montrant la tuyauterie interne et le placement des composants dans la machine d'anesthésie. Le gris foncé indique l'oxygène (O2) et le gris clair indique l'oxyde nitreux (N2O) [1].
b-Fiche du contrôle qualité du respirateur :
La mise à disposition d’une fiche de contrôle qualité a pris du temps et de successives changements due à la variété du parc de l’hôpital au niveau de types de DM, par exemple pour le respirateur d’anesthésie, nous trouvons Druger, General Electrique, Saturn Evo … et si nous changeons de marque, la conception de la machine change complètement.
On s’est basé sur la publication de l’OMS “ MEDICAL EQUIPMENT MAINTENANCE PROGRAMME OVERVIEW “ en incluant les différents critères d’inspections et de maintenance préventive dans la fiche de contrôle qualité.
Les Premières lignes de la fiche comporte l’Identification du respirateur qui englobe :
· Marque ou Type
· Modèle
· N° de Série (SN : Serial Number)
· N° d’inventaire, ce dernier est marqué par le service biomédical de l’hôpital
· Etablissement, pour notre cas c’est HIS (Hôpital IBN SINA rabat)
· Service où la machine est fonctionnelle .Voir Fig.3.
Par suite, il y a la caractérisation de l’appareil de test ou le testeur. Dans le paragraphe suivant, nous citons les différentes marques de testeur pour le respirateur d’anesthésie (paragraphe c).
Fig.3 : Les premières lignes de la fiche du contrôle qualité.
Au niveau de l’Inspection Visuelle, il y a une vérification de l’état général de la machine et de la qualité des composants visuels du respirateur. Dans cette partie nous vérifions :
· Bon état général du circuit patient (tuyauterie, pièce Y, piège à eau).
· Présence et Bon état des filtres antibactériens.
· Chaux sodée correctement remplie et vérification de la couleur.
· Détection de l'agent halogène.
· Vérification de la Capnographie (filtre, ligne de prélèvement).
· Présence et propreté des filtres à poussières.
· Bon état général des câbles secteurs et de la tuyauterie des fluides ainsi que leurs raccordements avec les prises murales Fig.4.
Fig.4 : Partie inspection Visuelle de FCQ.
Après avoir contrôlé la machine de l’extérieur, nous passons au stade de Software et la vérification du bon déroulement de l’Autotest.
En général, le respirateur d’anesthésie contient plusieurs modes. Mais, dans notre étude nous nous sommes basés sur deux modes qui sont indispensables dans les services de l’hôpital, le Mode Volume contrôlé où il n y’a aucune participation du patient qui reçoit un volume courant constant (VC) à une fréquence de respiration imposée. L’autre Mode c’est la Pression contrôlée, le ventilateur insuffle un mélange d’oxygène-air ou protoxyde d’azote N2O, à une fréquence donnée, jusqu’à l’atteinte de la pression fixée [2].
C’est indispensable de vérifier les paramètres de ventilations dans ces deux modes, pour chaque mode nous avons vérifié des paramètres bien précis à travers le testeur.
Pour les performances de ventilation en mode Volume contrôlé, nous trouvons (voir Fig.5) :
· Volume courant Vc/ Vt : C’est le volume qu’il faut inspirer à chaque cycle respiratoire.
· Volume minute Vm : C’est le volume qui détermine la quantité de CO2 échangé. On note la relation suivante :
Vm = Fr*Vc
· Fréquence respiratoire Fr : Nombre de cycle par minute avec durée de cycle c’est 60/Fr.
· Rapport I/E : c’est la fraction entre le temps inspiratoire et le temps expiratoire, pour une respiration physiologique nous fixons le rapport à ½.
· Pression expiratoire positive PEP : C’est la pression qui reste aux alvéoles après une expiration.
· Fraction inspiratoire en Oxygène FIO2 (%) : C’est la fraction inspirée d’oxygène ou concentration en oxygène du mélange inspiré par le patient [3].
· Pression Max. Pmax : C’est la pression crête ou maximale atteinte pendant la phase d’insufflation active du temps inspiratoire Ti.
· Pression Plateau Pplat : C’est la pression mesurée par l’appareil au niveau de la pièce Y pendant la phase passive du temps inspiratoire Ti.
· Pression Moyenne Pmoy : C’est la pression pendant un cycle complet (Ti+ Te).
Fig.5 : Performances de ventilation Vol. Contrôlée Vc FCQ.
Les performances de ventilation Mode Pression contrôlée Fig.6, il y a le contrôle de :
· Pression Inspiré Pins.
· Volume courant Vc.
· Volume minute Vm.
Fig.6 : Performances de ventilation Press. Contrôlée Pc FCQ.
Les alarmes vue leurs importances dans le déclenchement d’une panne durant une opération chirurgicale, c’est important de les inclure dans le control qualité et le test de sécurité électrique en respectant la norme EN-60601 Fig.7.
c- Testeurs respirateur d’anesthésie commercialiser :
Au niveau des Leaders de testeurs et de simulateurs dans le domaine biomédical, on cite deux constructeurs, FLUKE et RIGEL.
Au niveau de test de la respiration, on résume les différents modèles de testeur dans le tableau suivant :
Pour notre étude de contrôle qualité des respirateurs d’anesthésie, nous avons manipulé avec Citrex vu sa disponibilité dans le service biomédical IBN SINA. On outre, c’est facile à manipuler et le test ne prend pas de temps, ainsi une interface utilisateur qui permet à une interprétation rapide des paramètres ventilatoires.
d-Interprétations des résultats :
Le but de notre étude est de mettre un programme de contrôle qualité convenable à partir des ressources disponibles. Au premier lieu, nous avons commencé par une étude exhaustive des machines d’anesthésie. Nous avons choisi des respirateurs qui sont disponibles du temps à autre à savoir Druger Primus, GE Carestation 620 et Medec Saturn Evo puisqu’ils étaient fonctionnels dans différents services d’hôpital et essentiels pour les patients.
Avec un calcul d’erreur entre le paramètre de ventilation saisi par le manipulateur et la valeur affiché par le testeur grâce à la fameuse formule d’erreur, que nous avons fait introduire à l’Excel, nous avons obtenu les résultats que nous avons comparé par rapport aux tolérances présentées par le Datasheet de chaque respirateur d’anesthésie. Dans cette partie, nous allons appliquer ce contrôle sur Primus, et c’est pareil pour les deux respirateurs restant à savoir Carestation 620 et Saturn Evo.
• Primus :
1.Etude de la Ventilation en Mode Volume Contrôlé :
Fig.8 : Performances VC Primus.
Comme c’est affiché dans Fig.8 y’a deux paramètres de ventilations en rouge, qui reflètent un écart très important de la tolérance nominale. On trouve la Pression plateau Pplat de 27,89% dépassent le 4 % et une Pression Moyenne Pmoy de 45,71% qui dépasse les 8%, Fig.9. Pour la pression Moyenne, c’est un paramètre déduit de la Pression plateau, donc c’est logique d’avoir une valeur qui dépasse la valeur nominale, puisque c’est le cas pour la pression plateau Fig.10
Fig.9 : Représentation graphique des paramètres de ventilations.
Fig.10 : Différence graphique (Pression en fonction temps) entre Pcrête, Pplat. et Pmoy.
D’après des études menées dans la ventilation artificielle, une stratégie protectrice du patient à fixer la valeur de la Pression plateau inferieur à 30 cmH2O. Si on fixe notre pression à cette valeur, la sortie après calcul d’erreur atteint une pression de 38,37 cmH2O. Le travail d’Amato qui est la seule étude qui rapporte une pression plateau supérieur à la valeur critique de 35 cmH2O [8], on trouve qu’il y a un pourcentage très important de barotraumatisme Fig.11 [9]
Fig.11 : Comparaison des cinq études prospectives ayant évalué l’impact de la réduction du volume courant sur le pronostic du SDRA (Le syndrome de détresse respiratoire aigue)
L’étude d’Amato sur une population (nbre de patients) de 53 patients, il y’a barotraumatisme de 42 % chez adulte et de 7% pour cas pédiatrique, et une mortalité de 71% cas adulte et de 45% cas pédiatrique.
Le barotraumatisme est lié à une surpression dans les alvéoles au cours de la ventilation mécanique. La sur distension des voies aériennes peut conduire à une rupture bronchique ou alvéolaire à l’origine d’une fuite d’air sous l’effet de la surpression générée par la ventilation. Les lésions histologiques responsables du barotraumatisme sont des lésions de sur distension des alvéoles avec des lésions bulleuses non visibles sur la radiographie du thorax [10].
2. Etude de la Ventilation en Mode Pression Contrôlé :
Fig.12 : Performances Pression contrôlées Primus.
Si nous analysons les résultats de la Fig.12, nous trouvons le Volume minute Vm qui dépasse la tolérance d’un écart de 10%, voir la Fig.13 :
Fig.13 : Représentation graphique des paramètres de ventilations Pression contrôlée.
• Carestation 620 :
1.Etude de la Ventilation en Mode Volume Contrôlé :
Fig.14 : Performances du VC Carestation 620 GE.
La Fig.14 reflète une restriction et réduction du contrôle de certains paramètres de ventilations comme FIO2 et Pplat. De plus, il y’a un dépassement au niveau de la pression maximale qui atteint les 44% d’erreur. Ce dépassement de la Pmax a absolument des effets sur le patient.
2.Etude de la Ventilation en Mode Pression Contrôlée :
Fig.15 : Performances VC Carestation 620 GE.
Si nous analysons les résultats de la Fig.15, on trouve La pression inspiré Pinsp qui dépasse la tolérance d’une erreur atteint 32%.
• Saturn Evo:
1.Etude de la Ventilation en Mode Volume Contrôlé :
Fig.16: Performances VC Saturn Evo MEDEC.
Nous remarquons d’après une analyse des résultats qu’il y’a la FIO2 et Pplat qui sont des paramètres hors leurs tolérances normales, la FIO2 atteint 33% à cause de la cellule d’O2 qui est défectueuse et le deuxième paramètre Pplat, atteint 13% en valeur absolue.
2.Etude de la Ventilation en Mode Pression Contrôlée :
Fig.17: Performances PC Saturn Evo MEDEC.
Les valeurs retenues des paramètres du Saturn Evo respectent le Datasheet au niveau du mode pression contrôlée comme c’est mentionné dans la Fig.17.
VI- Seringue à Perfusion :
a- Principe du système à perfusion :
Un système de perfusion peut être décrit comme le processus qui fournit des liquides et des médicaments en solution aux patients par un dispositif de perfusion.
La voie intraveineuse est généralement utilisé pour la délivrance de médicaments. Cependant, il existe aussi les voies sous-cutané, péridural, et les voies entérales qui sont également utilisées pour l'administration spéciale de médicament.
L'administration de médicaments dans le patient par le biais d’un dispositif de perfusion fournit le niveau souhaité de médicament chez le patient et permet un contrôle direct sur les variables pharmacologiques, telles que l'apparition des effets de médicaments et les concentrations maximales de médicament sérique.
Ce type d'administration de médicament a été le choix de conditions particulières ou spécifiques, y compris l'utilisation d'antibiotiques pour une infection sévère, une chimiothérapie pour les affections malignes, des médicaments cardiaques dans des cas critiques et des analgésiques pour soulager une douleur sévère.
Parmi ces systèmes de perfusion, on trouve la seringue à perfusion, dans ce type de pompe, le médicament est pompé vers l'avant dans le tube par une action de poussée de type seringue.
Le dessin schématique d'une pompe à seringue est représenté sur la Fig.1. La seringue est placée dans un boîtier de la pompe, tandis que le piston de la seringue est attaché à un chariot mobile. Le chariot est attaché à une vis de plomb à travers un écrou et la vis est fixée au moteur par une boîte de vitesses.
Fig.1 : Composants de pousses seringues
Au fur et à mesure que le moteur tourne, la vis de guidage force le chariot à glisser sur le guide, ce qui entraîne une poussée du piston dans la seringue. Cette action directe délivre le médicament au patient et vide la seringue. Le taux contrôlé pour la livraison d'un médicament est assuré en contrôlant la vitesse et la rotation du moteur. Ce taux contrôlé peut être en étapes ou en continu [11].
b- Contrôle qualité de la Pousse seringue :
Pour la fiche du contrôle qualité d’une Pousse seringue, nous nous sommes basés sur les tests faits à travers les différents testeurs qui existent sur le marché en réduisant certains paramètres, qui semblent répétitifs. Pour la tolérance des valeurs, selon la norme NF S 90-251 annulée en 2009, porte sur les caractéristiques de fonctionnement des pousse-seringues. Il est précisé que : la vitesse d’avancée du piston doit être fixée à ±1%, avec une limite d’erreur tolérée sur le débit délivré de ±3% lors de l’utilisation avec des seringues recommandées par le fabricant des pousse-seringues.
Pour les tests des différents modèles de pousse-seringues, nous trouvons :
• Test Débit ou Flow rate : Permet de calculer avec précision le débit donné par utilisateur, pour interpréter l’erreur par la suite Fig.1.
Fig.1: Test Flow rate modèle FCQ.
• ·Test d’occlusion : La plupart des Pousse seringues, même d'anciennes générations, possèdent une alarme de surpression ou d’occlusion. Cette alarme est très souvent réglable. Malheureusement, ce réglage n'est pas toujours systématique lors de l'utilisation des PSE. Lorsque c'est possible, il convient de régler le niveau d'alarme d'occlusion le plus près possible de la pression de perfusion. De cette manière, l'utilisateur est prévenu de la moindre variation en augmentation et peut déceler un problème sur la ligne de perfusion (coude, occlusion de la voie veineuse, robinet en position fermée...). Le second paramètre important, outre cette alarme de pression d'occlusion, est la vitesse de perfusion. Plus cette dernière sera élevée, plus l'utilisateur sera prévenu rapidement [14]. La Fig.2 ci dessous, il y’a les paramètres d’entrées et affichées du testeur, étant des données important à inclure dans la FCQ.
Fig.2 : Test Occlusion modèle FCQ.
• Test PCA (Patient Controlled Analgesia) : il y’a des pompes à perfusions qui sont spécifiques à cette technique PCA, ce qui n’est pas le cas pour les pompes en général. Ces pompes permettent aux patients de délivrer le médicament seul en actionnant un interrupteur ou un tampon de pression relié par un cordon à la pompe [11].
Fig.3 : Test PCA modèle FCQ.
c- Control qualité de Pousse seringue :
Le tableau suivant résume une comparaison des différentes caractéristiques de chaque modèle entre FLUKE et RIGEL. Figure 4,5.
d- Control qualité de Pousse seringue :
Pour l’étude du contrôle qualité d’une pousse seringue, nous avons choisi un modèle qui est majoritaire au niveau des différents services grâce à l’inventaire de chaque service. Pour cela, nous avons travaillé sur Alaris CareFusion. Pour ce type de système à perfusion il n’y a pas de système de PCA, donc le test de PCA est exclu dans l’exemple de contrôle qualité. Vous trouvez ci-joint le fichier Excel du contrôle qualité d’Alaris.
• Test Débit ou Flow rate :
Fig.6 : Résultats du Test Débit FCQ.
D’après les résultats obtenus à travers Multi-Flo, nous remarquons un dépassement au niveau du débit délivré au patient de +25,24 %, ce qui créé un état critique chez le patient pour certains médicament spécifique . Cette erreur est bien dégagée aussi au niveau du débit Peak. voir Fig.6.
• Test d’occlusion :
Fig.7 : Résultats du Test Occlusion FCQ.
Après que nous avons fixé les paramètres d’entrées comme des limites de pressions Max et Min, entre 1280 mmHg et 720 mmHg, les résultats dépassent ses bornes pour Pression Current et Pression Peak ainsi un très faible volume délivré qui est le Bolus Volume.
Renouvellement des équipements
I-Renouvellement des équipements du service d’exploration fonctionnelle digestive :
I-1-Introduction :
A cause d’absence de fabrication du consommables des DM par l’entreprise, l’équipe du service a décidé de renouveler le matériel d’EFD.
I-2-Travail effectué :
Notre travail était de réaliser des fiches comparatives entre les différentes marques disponibles dans le marché afin de faciliter le choix d’un tel équipement ainsi que satisfaire le besoin de l’hôpital qui exige des paramètres bien spécifiques.
Les équipements renouvelés sont les suivants :
1. Colonne echoendoscopique
2. Station endocapsule
3. Système de PH-métrie
4. Fibro scan
Remarque :
Les listes qui représentent les fiches comparatives du matériel renouvelé sont disponibles en Excel. Voir Annexe 2.
Et concernant le Système de pH-mètrie, un seul fabricant qui est disponible dans le marché c’est la société MMS ce qui présente un inconvénient puisqu’il n’y a pas avec quoi nous allons comparer.
II-Installation d’une nouvelle IRM :
II-1-Introduction :
L’augmentation du besoin d’un examen d’IRM mène les patients à souffrir en prenant des rendez-vous trop loin par contre leurs cas peut être urgent. Donc, notre chef de service pensait à un local loin de la circulation des patients ou l’installation d’IRM sera fiable.
II-2-Travail effectué :
Après avoir être informés par les caractéristiques (essentiellement d’un diamètre de 60 mm ainsi qu’un champ magnétique entre 1.5 T et 3 T) qui répond aux besoins sans oublier le budget employé ci-dessous, nous avons effectué une fiche qui compare entre les différentes marques principalement : Siemens, GE, Hitachi Medical, Philips et Toshiba Medical.
Cela mènera à bien choisir l’équipement qui correspond au besoin nécessaire.
Le travail effectué est sous forme de tableau d’Excel qui englobe tout les marques et leurs types aussi. Voir Annexe 3 .
Solution Technique pour Moniteur Multiparamétrique
1. Introduction :
Dans un établissement de santé, il est indispensable d’avoir des moniteurs multiparamétriques qu’on puisse trouver dans différents services (réanimation, bloc opératoire, EFD…). Ils permettent de surveiller le patient en fonction des paramètres bien précis.
En effet, un moniteur multiparamétrique permet un diagnostic plus fiable afin d’appliquer des soins intensifs à travers les paramètres suivants : PNI, ECG, SPO2, T, Fc.
Dans le service de réanimation d’urgence d’Avicenne, nous avons constaté que les moniteurs sont programmés pour mesurer la Pa en permanent. La pompe lié au système du PNI doit être activée en mode automatique afin de gonfler le brassard, c-à-d les mesures seront répétées en continu à des intervalles données, ce qui mène à activer la pompe à chaque fois la mesure aura lieu.
Dans le même service, nous avons remarqué que les manipulateurs laissent le brassard ouvert sur le lit du patient après avoir terminé le diagnostic ou le soin. Et puisque le dispositif est en mode automatique, la pompe reste en marche même si le patient ne lui est pas branché, ce qui conduit à réduire la durée réelle d’utilisation de la pompe qui a une durée bien précise comme nous savons tous.
Ainsi, pour une gestion de maintenance plus efficace, nous avons pensé à une solution pour désactiver la pompe au moment où le bras du patient ne se trouve pas au milieu du brassard.
2. Solution Proposée :
Pour lutter contre ce problème, nous avons pensé à mettre un capteur lié au brassard qui va détecter la présence du bras du patient. Et donc :
*Si le patient est branché à la machine, alors la pompe est en marche.
*Sinon, la pompe est arrêtée quelque soit son mode de fonctionnement.
En outre, une photorésistance est le capteur le mieux adapté à notre problème vu son coût et sa disponibilité. C’est un composant dont la résistivité dépend de la luminosité ambiante. On va donc s’en servir pour détecter les fortes variations de la luminosité. En effet, si le bras du patient est attaché au brassard, la photorésistance est en contact avec celui-ci. D’où, la pompe est activée. Sinon, elle est stoppée grâce à un code programmé par l’Arduino.
Pour mieux comprendre, voici une vidéo qu'illustre ce que nous avons conçu :
Conclusion générale
Ce stage a constitué pour nous une bonne occasion pour consolider nos connaissances et nos acquis dans le domaine biomédical. Nous avons découvert plusieurs appareils médicaux d'usage et nous avons pris connaissance des différentes techniques de maintenance médicales.
Dans ce cadre, nous avons assisté à plusieurs interventions de maintenance préventives et curatives sur des appareils très sophistiqués comme le scanner et l’IRM. Grâce à ce stage, nous avons rencontré des ingénieurs biomédicaux qui nous ont appris plusieurs astuces pour détecter les pannes et qui nous ont expliqué l’utilisation des certains appareils.
Nous avons trouvé les missions d’un ingénieur et d’un technicien de maintenance biomédical essentielles et enrichissantes, puisqu’il s’agit pour nous d’un domaine inconnu où nous aimerions approfondir nos compétences. Nous soulignons également le coté relationnel et la bonne ambiance que nous avons appréciés au sein de l’équipe que nous avons intégré ce qui a faciliter le déroulement de notre stage.
Bibliographie
[1] Wiley Encyclopedia of Medical Devices and instrumentation Volum II- ROBERT LOEB University of Arizona Tuscon, Arizona JEFFREY FELDMAN Children’s Hospital of Philadelphia Philadelphia, Pennsylvania.
[8] Amato MB, Barbas CS, Medeiros DM, Magaldi RB, Schettino GP, Lorenzi-Filho G, et al. Effect of a protective-ventilation strategy on mortality in the acut
[10] Rouby JJ, Lherm T, Martin de Lassale E, Poete P, Bodin L, Finet JF, et al. Histologic aspects of pulmonary barotrauma in critically ill patients with acute respiratory failure. Intensive Care Med 1993;19: 383–9.
[11] SELAHATTIN OZCELIK Texas A&M University Kingsville, Texas, WILEY ENCYCLOPEDIA OF MEDICAL DEVICES AND INSTRUMENTATION, SECOND EDITION
Annexes
Annexe 1 :
Inventaire des Services
INVENTAIRE REANIMATION MEDICAL HIS REA MEDICAL.xlsx
invtent bou-ruch.xlsx
Inventaire de l hopital.xlsx
Annexe 2 :
gastro CPS Endocapsule.xlsx
gastro CPS EchoEndoscope.xlsx
gastro CPS FibroScan.xlsx
Annexe 3 :
IRM 60cm D Bore.xlsx
Annexe 4 : Fiches control qualités Respirateur et Pousse seringue.
Control Qualité réspirateur Anhesté..xlsx
Control Qualité réspirateur Anhesté. - copie.xlsx